
le jardin intérieur Les journées s’écoulèrent dans une tranquillité éclaircissement. La primitive famille, jadis prisonnière d’ombres et de murmures, laissait dès maintenant circuler la luminosité via ses boucles d'oreilles. Les plantes placées par Madeleine s’épanouissaient dans les arrondissements dans les anciens temps mauvaises, notamment si tout recoin trouvait filet à filet sa aspiration respectueuse de son mode de vie. Les stigmates du passé se percevaient encore par endroits : une fissure dans le mur, un parquet lentement gondolé, deux ou trois marques indélébiles sur la tapisserie. Pourtant, pas de malaise ne s’en dégageait plus. Chaque matin, Madeleine entreprenait une courte distraction dans le salon réaménagé. Elle s’asseyait attaché à la fenêtre, suivant les rayons du soleil qui dansaient sur le plancher. 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